Aika [Fiche terminée]

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Here's to all the broken hearts tonight


Here's to all the fall aparts tonight

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Nom : Aika
Nom de naissance: Jou [Affection - Tendresse]

Surnoms : Jun'jou [Coeur pur], Ai [amour]

Genre : Femelle
Race & Espèce : Renard [Plus précis quand j'aurai fait l'image]

Sa famille :


Spoiler:

Son clan : Solitaire avec Elli, Lune et Twin.
Âge : Adolescente
Taille : 42 cm

Personnalité : En résumé, Aika est un vrai cœur. Par-dessus quelques défauts des plus naturels, elle possède une personnalité en or. Généreuse, elle fait souvent passé ceux qu’elle aime avant elle, que ce soit pour se nourrir ou fuir le danger. Si il le faut, c’est elle qui encaissera les coups. Et c’est avec le plaisir qu’elle le fera, car elle est tout simplement heureuse de vivre pour les autres, et non pour elle-même. Non seulement, elle donne priorité à ses proches, mais en plus, elle semble toujours là pour eux. Qu’ils pleurent, elle pleurera avec eux, bien lovée contre leur pelage, son museau enfouit dans le cou pour manifester son soutien. Elle fera son possible pour ramener le sourire, allant pour ça jusqu’à hurler aux nuages qu’ils devraient plutôt abreuver les grands étendus désertiques, si c’est nécessaire. Un peu co-conne parfois, elle doit souvent donner l’impression d’être bête. Mais, est-ce vraiment le cas? Chaque action est calculée, chaque mouvement, prévu. Elle envisage souvent ce qu’elle fait, que ce soit stupide ou non, et lorsqu’elle semble faire des gestes irréfléchis, c’est toujours avec, au fond, de bonnes intentions. Il est bien rare qu’elle hausse le ton, n’aimant pas crier plus qu’il ne le faut. Ça écorche sa voix et ses oreilles, après tout.. Eh oui, miss est un peu perfectionniste, il faut l’avouer. Comme elle aime que les choses soit viens faites, bien dites, elle aime aussi bien paraître, et donc, passe souvent de longs moments à s’arranger à son aise, assise au bord d’un ruisseau.
Avec les étrangers, pourtant, elle n’est pas tout à fait aussi tendre. Disons u’elle préfère tâter du terrain avant de s’afficher comme elle est. Ainsi donc, elle ira plus franchement quant à ce qu’elle pense de l’individu, allant jusqu’à lui répondre avec ironie, mais rarement méchamment. Fidèle amante de la gente masculine, elle s’amuse à considérer tous les mâles comme des conquêtes éventuelles, de quel’espère qu’ils soient, en autant qu’ils soient canins. Aussi, il n’est pas rare qu’avec les mâles, elle s’affiche un peu plus dragueuse et chaleureuse. Toutefois, une fois qu’elle est officiellement avec quelqu’un, les autres c’est, ''Pas touches, tu dégueulasses mon poil''! Et si on fait la gaffe de toucher à SON mec, c’est, ''Cours salope, parce que si j’t’attrapes!..''. Autrement dit, une grande jalouse, qui perd touuut sens du respect quand on l'offense vraiment. Mais pour qu’elle haïsse quelqu’un, faut vraiment pousser. Et quand elle hait, elle hait! Gare à vos fesses, ça à le ventre à hauteur du l’herbe, mais ça mord!!

Son objectif dans la vie: Devenir comme sa mère.
Son passé: Il volait, beau, coloré. Fragile. Ses ailes arrondies battaient l’air avec vigueur, dans un silence total. On dit qu’un battement d’aile d’un papillon peut déclancher un ouragan, de l’autre côté de la terre. ‘‘Il est donc de notre devoir d’empêcher ce massacre’’, c’était sournoisement exclamé Aijou. Vrai peste, ce jeune mâle passait ses jours à chasser la moindre créature, tentant toujours d’attirer sa jeune sœur dans ses filets. Aijou avait un an et demi de plus que Jou. De sa portée, seul un autre mâle avait survécu. Hatsukoi. Frères du même âge, donc, ils se partageaient constamment leur cadette, jamais en même temps, puisque Hats’ se défiant de son frangin. Qui el lui rendait bien. Jou n’avait jamais pu comprendre pourquoi, d’ailleurs.. En fait, lorsqu’il était encore temps de demander, la question ne lui avait même jamais effleuré l’esprit.
Ce jour-la, la petite sommeillait, allongée dans les hautes herbes et les fleurs. Ses paupières à peine ouvertes laissaient percevoir une fraction de ses yeux, fixés sur l’espiègle renard, qui de coup de pattes c’était mis à harceler le pauvre monarque. Ce dernier ne pris pas longtemps à être broyé entre les crocs de la peste.
« Repose en paix.. »
Soupira la gamine, refermant les yeux avec ennui.
« Hey! Jun’jou! »
À l’entente de ce particulier surnom, la concernée releva la tête, faisant fit de la grimace qui, à présent, marquais le visage de Aijou, grimace qu’elle n’avait même pas remarqué. Hatsukoi s’approchait à présent, queue en l’air, franchissant paisiblement le champ dans lequel les rejetons jouaient souvent. Jou se releva joyeusement et trottina jusqu’à son aîné, le saluant en frottant le crâne contre le cou de son grand frère. Peu après, Aijou se joignit à eu et leva une patte, qu’il appuya doucement sur le dos de sa jeune sœur. Cette dernière arrondit la colonne, réceptive à toutes les marques d’affection de ses aînés. Âgée de quatre mois, elle passait la majorité de son temps avec eux, les aimant de tout son cœur, malgré leur comportement contradictoire.
« Tu viens avec moi? J’ai trouvé un truc génial! »
Lança innocemment Hats, en lançant un regard goguenard à son frère, sachant très bien que la petite ne pouvait refuser une telle invitation. Effectivement, peu de temps après, ils marchaient tous les trois à travers champ. Au bout de quinze minutes de marche, se présenta à eux un terrier visiblement abandonné, devant lequel trônait le cadavre brisé d’une pauvre belette. À cette vue, Jou recula vivement, tirant une tête dégoûtée. Mais déjà, Hatsukoi pliait des pattes, enfouissant le début de son corps dans le terrier. Il en ressortit bientôt, une petite boule de poil couinant entre ses deux mâchoires, se servant de ses crocs comme appuis. Jou s’en approcha, oreilles dressées, curieuse. Qu’étais-ce que cette drôle de créature? Un bébé belette? Ainsi le lui présenta-on. En tant qu’orphelin. Et ainsi les trois renardeaux gagnèrent-ils un nouveau compagnon, dont tous trois prennaient soin avec plaisir, le nourrissant et veillant sur lui à tour de rôle. Shi. S’fut son nom. Shi la belette, puisqu’ils n’avaient pas envi de se casser la tête.


« Jou? Ai! Rentrez! »
À l’appel de leurs parents, les deux jeunes se précipitèrent au terrier, le mâle trimbalant Shi dans sa gueule. La belette avait à présent beaucoup grandi, tout comme Jou, qui atteignait ses un an.
« Où est Hats? »
Questionna Kei’, leur mère. Parti chasser. C’est ce qu’ils répondirent. À peine entrés et la pluie se mit à tomber violemment à l’extérieur, forçant la famille à se rassembler au fond du terrier. Là ou se trouvait Iro, père de famille, avec qui les deux fils s’étaient embrouillés, il y a peu. On sentait dans l’endroit une tension palpable, aussi Jou alla-t-elle se blottir dans un coin de la grotte, Shi entre ses pattes, n’appréciant pas ce genre de situation. Situation qui dégénéra rapidement. Il ne fallut pas bien longtemps aux deux mâles pour en venir aux crocs. Terrifiée, Kei’ vint s’allonger au dessus de sa fille, la protégeant de son propre corps. Un bien nécessaire, puisque peu après, un coup de griffe atteignait inconsciemment le faciès de la brave mère, toute tremblante. Les coups battirent, rapidement échangés, jusqu’à ce que le plus vieux, âgé de neuf ans déjà, succombe et s’effondre, la respiration difficile et sifflante. Terrifiée, Keibo se replia d’avantage sur sa fille, dans le frêle espoir de la protéger. Aijou, ne manquant rien de cette réaction, l’attaqua à son tour. Pourquoi? Pour sa sœur. Iro l’avait menacé de l’éloigner d’elle. Maintenant, Kei’ jouait les obstacles à son tour.. Et comme son défunt compagnon, elle alla s’effondrer sur le sol. Ensuite, le jeune mâle se traîna jusqu’à sa cadette, couvert de sang mais les yeux fiers.
« Viens, Jun’jou. Part avec moi, nous n’serons que tous les deux. »


Même la forte pluie ne parvenait à camoufler cette acre odeur. Celle du sang. À présent, le pauvre renard galopait à en perdre haleine, avisant le terrier, non loin. Le terrier, et la silhouette qui en sortait en se traînant lamentablement. Kei’. Arrivé près de sa mère, Hats la couvrit d’un tendre coup de langue, mais ne s’attarda pas. Il devait aller voir plus loin. À l’intérieur gisait son père. Mort. Et non loin, sa sœur se débattait rageusement entre les crocs d’Aijou, qui tentait visiblement de la traîner dehors. Sans plus de retenue, il se jeta sur son frère. Depuis trop longtemps, la haine bouillait entre eux. Il fallait qu’elle éclate. Aujourd’hui. Maintenant. Aijou perdit. Déjà affaiblit par ses deux autres quiproquo, il n’avait aucune chance de vaincre ce nouvel adversaire. Toute tremblante, Jou restait dans son coin, allongée, Shi serré contre son flanc. Hats, tremblant du geste qu’il venait de commettre, s’installa contre sa sœur, la rassurant de quelques coups de langues. Après cet épisode, les deux renards désertèrent, pour aller rejoindre une autre meute, incapables de vivre seuls. Meute à laquelle Jou, nouvellement prénommée Aika, ne se joignit pas de cœur. Si elle en était membre, elle n’assumait aucune fonction. Hors de question pour elle. Mis à part s’occuper, parfois, des jeunes, elle préférait passer ses journées comme elle le pouvait, et non comme les autres le voulaient.

Cette vie lui devint rapidement insuffisante, elle qui n’avait jamais dû enduré la vie de meute. Comme le clan des renards n’était pas très soudé, et qu’elle était encore jeune à cet âge, elle n’avait jamais eu de véritables responsabilités. Aussi, en voyant l’insistance avec laquelle les autres loups tentaient de leur assigner un rôle, les deux renards firent comprendre qu’ils n’avaient nullement l’intention de se changer en bons chiens, et qu’ils cherchaient seulement à vivre en bon lieu. Ces paroles coûtèrent la vie à Hatsukoi, et Aika ne parvint à y échapper que de justesse. Une fois ces terres désertées, la renarde et son compagnon à pattes courtes errèrent le temps de quelques heures seulement, jusqu’à ce qu’Ai s’effondre, ses blessures lui pesant trop.

Elle ne s’éveilla que plus tard, entourée d’inconnus. Ses plaies avaient été sommairement léchées. Découvrant que ses sauveurs formaient une petite meute de solitaires, vivant ensemble pour se serrer les coudes, Aika y vit avant tout une bonne façon de survivre. Elle se joignit donc à eux, et s’attacha vite à ces trois loups. Une petite meute de quatre, ce n’était pas bien impressionnant, mais peu à peu, ils s’y habituèrent, survivant, puis vivant de leur mieux alors que des liens familiaux se formaient entre eux. En tout cas de son côté, Ai se mit très vite à les considérer comme ses frères et sœurs.

Place/rôle dans le clan : Un peu de tout

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Pseudo: Amira
Code réglementaire: [Accepté par votre fondatrice que vous aimer tant XD]
As-tu bien lu les règlements?: Nan, j'l'ai pas lu du tout =P

Suis curieuseuhhhhhhhhh ^^
Pour le moment, tout est bon XD

Les solitaires sont refusés, déso ^^"

desoler mais si i;l a un ans et demi il est adulte content que un renard vie 4 ans en moyens. bon je sais que l'on est immortelle mais on doit quand meme respecter une basse. si tu veu le metre adolesent tu peut le metre entre 9 et 11 mois sinon il est considere un peut comme un adulte.

C'est une renarde ou une belette ? ^^"..l'image prête à confusion..désolée XDD *BONG !* Aïe...

Moi je dis que c'est correct puis que par exemple, ma Zeleka à Zoku, son compagnon furet!

Moi je dis que sa vas, puisqu'elle est "incluse" dans la fiche de la renarde!

Faudrait que tu met son image.

Faudra attendre l'image, mais tu peux commencer pareil à RPG, sauf que la fiche ne sera pas déplacé avant.

Validé!